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La sécheresse en 2018 a surtout eu un impact sur les cultures fourragères, mais cela transparait à peine dans les comptes économiques de l’agriculture de l’année 2018. Les effectifs d’animaux ont actuellement tendance à diminuer, mais sans plus. Le surcoût pour les importations de fourrage pourra atteindre 35 millions de francs d’ici la fin de l’hiver 2018/19. En revanche, ce mauvais bilan fourrager a pour effet de maintenir le prix du lait.