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En direct de l’USP n°30
Note de la semaine
Les modifications d’ordonnances en lien avec les trajectoires de réduction entrent en vigueur le 1er janvier prochain. Plusieurs nouveautés concernent les PER dont l’interdiction de substances actives présentant un risque important pour les eaux de surface et/ou les eaux souterraines. Par ailleurs, de nouvelles contributions au système de production seront introduites. Certaines devant être annoncées cette année encore, il est important de se tenir informé des différentes nouveautés. Un résumé de ces changements est disponible sur https://themes.agripedia.ch/fr/.
Programme d’activités 2023
Le secrétariat de l’USP a préparé un premier projet de programme d’activités 2023 comprenant cinq thématiques principales ainsi que de nombreuses tâches spécifiques. Cette ébauche sera ensuite traitée au sein des différents organes de l’USP en vue d’une adoption lors de l’assemblée des délégués de novembre. Il s’agit en quelque sorte d’un cahier des charges défini par la base agricole à sa faîtière.
Nouvelle vidéo explicative
Une nouvelle vidéo explicative sous forme de dessin animé a été réalisée sur le thème des engrais de ferme. Elle complète les informations déjà présentes sur la plateforme agriculture-durable. Elle est par ailleurs à disposition pour être reprise sur les sites internet des organisations agricoles ou partagée sur les réseaux sociaux.
Brunch à la ferme du 1er août
A l’occasion de sa trentième édition, le Brunch à la ferme du 1er août a à nouveau compté des hôtes prestigieux puisque le président de la Confédération Ignazio Cassis s’est rendu dans une ferme zurichoise alors que le conseiller fédéral Guy Parmelin était dans le Haut-Valais. Par ailleurs, le vendredi précédent, la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a participé à la traditionnelle balade du Schweizer Illustrierten qui s’est terminée sur une ferme saintgalloise
Statistique de la semaine
L’analyse des importations d’engrais selon le mode de transport montre que la moitié entre en Suisse par bateau via le Rhin et quelques 40% par la route. Environ 20'000 tonnes (8,3 %) viennent chez nous par le rail. Le trafic aérien joue donc un rôle minime. En raison des longues périodes déficitaires en eau qui risquent de se renforcer à l’avenir, il n’est pas impossible que la part des importations par bateau diminue.